Il faudrait que l'on sache aimer un peu plus fort
Et caresser sans fin les heureux sémaphores
Ronronnants de justesse et ravis de câlins
Cheveux, paires de fesses ou dans le creux des seins
Il faudrait pour cela accepter l'arrogance
D'un malheureux prélat qui de par sa présence
Revêt les idéaux compétitivisés
D'un semblant de radio, de jeux télévisés
Revenir au papier et à son doux toucher
S'enivrer de bouquins et de livres adorés
Sentir leur pafums et tourner leurs douces pages
Comme une amante exquise aux atours de passage
20/11/2014
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