Douce Paz, fourmiliere geante
Rouge comme une rousse
Ville demoniaque et grouillante
Paris des Andes, cite en mousse
D'un revers de Boheme
Se perdre dans ses rues
Manquer d'oxygene
En montant au chahut
Sortir dans le quartier
Et voir les alcooliques
Filles se dehancher
Voir leur fesses extatiques
Et revenir malade
Sans force mais serein
D'une ultime balade
La Paz dans les deux mains
Savourer un mate
Et une maraqueta
Un dulce de leche
Le soleil dans les bras
La Paz, rouge comme les briques
Sanglantes d'un mur de violence
Un mystere archaique
Une ville en errance
26/02/2015
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