Quand
l'ivresse se fond
Entre
deux glissements
De
mains, qui entreront
Dans
un nouveau courant
D'écume
et de poissons
Frissonnants
d'amertume
Lorsque
retourneront
Les
rumeurs du bitume
Et
les malaises horribles
D'une
nuit de malheur
La
migraine terrible
De
la plus petite heure
Du
matin dégoûtant
La
lueur diamantine
Du
soleil râlant
De
sonner les Martines
Danseuses
de nuitées
Et
de soirées trop pleines
De
poudrières au nez
Quand
on croit être reine
Mais
que lorsque s'éteint
La
divine illusion
Il
ne reste plus rien
Yeux
de la dérision
Avachis
et pochés
Brouillés
de larmes folles
Frits
ou bien rosés
Veines
de vitriol
On
avance tant bien
Titubant
dans l'allée
Maudissant
le matin
D'une
nuit arrosée
01/10/2014
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